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Sud-Ouest (31 octobre 2024) : « Top 14 : le Stade Rochelais va faire rejouer Oscar Jegou face au Stade Français »

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« N’ayant plus aucune visibilité sur la procédure de non-lieu demandée par le procureur de Mendoza, nous avons décidé, en concertation avec notre avocate Maître Astolfe, d’autoriser Oscar à rejouer dès ce week-end, nous a confirmé Vincent Merling, le président des Jaune et Noir. Nous renouvelons notre confiance dans la justice argentine mais nous sommes très impatients que la procédure puisse aller à son terme avec la tenue de l’audience sur le non-lieu ».

« Cette décision du Stade Rochelais de faire revenir Oscar Jegou sur le terrain est légitime. Le calendrier judiciaire initial a été suspendu du fait de recours dilatoires de l’avocate de la plaignante, appuie Maître Céline Astolfe. Dans ces conditions, il n’est pas envisageable d’empêcher plus longtemps Oscar d’exercer son métier de joueur de rugby professionnel, puisque nous sommes dans l’ignorance de la date de l’audience sur le non-lieu annoncée il y a bientôt un mois. »

(cliquer ici pour lire l’article de Sud-Ouest du 31 octobre 2024 dans son intégralité)

L’Equipe (31 octobre 2024) : « Calendrier judiciaire décalé, absences à la Rochelle : Jegou, les raisons d’un retour »

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« Le Stade Rochelais a pris la décision de le faire revenir sur le terrain parce que le calendrier judiciaire initial a été suspendu du fait de recours dilatoires de la défense de la plaignante, nous a indiqué Céline Astolfe, avocate du club et du joueur. Nous sommes dans l’ignorance d’une date d’audience sur le non-lieu, qui a pourtant été annoncée il y a bientôt un mois. »

« Initialement, nous avions un calendrier fixe, avec une visibilité sur laquelle le Stade Rochelais s’était calé mais, désormais, nous n’avons plus de date, reprend Me Astolfe. On ne peut pas indéfiniment entraver Oscar Jegou dans l’exercice de son métier de joueur professionnel. C’est une décision légitime. »

(cliquer ici pour lire l’article de L’Equipe du 31 octobre 2024 dans son intégralité)

Le Figaro (1er novembre 2024) : « La pédophilie était ancrée en moi »: l’ex-graphiste de Disney Pixar écope de 25 ans de prison pour viols lors de shows sexuels en ligne sur des fillettes en Asie « 

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« D’une même voix, les avocats de partie civile ont, eux, plaidé pour les grands absents du procès : les enfants. «On est là pour penser de manière très concrète à leurs tremblements, à leurs pleurs, à leurs douleurs physiques », a insisté Céline Astolfe, de la Fondation pour l’Enfance. »

(cliquer ici pour lire l’article du Figaro du 1er novembre 2024 dans son intégralité)

Le Point (31 octobre 2024) : « Procès de l’ex-graphiste de Disney : de la fiction pour enfants à l’horreur des shows pédopornographiques »

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« Seule Me Céline Astolfe, avocate de la Fondation pour l’Enfance – qui occupe le banc des parties civiles avec six autres associations de protection de l’enfance, faute de victimes physiques –, parvient à l’amener au plus proche de la réalité des faits. Bouhalem B. prend une grande inspiration, la main sur le cœur, et finit par lâcher au sujet des actes de torture qu’il commandait à ces femmes philippines : « Ces actes criminels sont vraiment horribles, en fait ça vous donne un pouvoir incroyable d’aller jusqu’à la limite… Heureusement, je ne suis pas tombé sur une femme criminelle ! » »

(cliquer ici pour lire l’article du Point du 31 octobre 2024 dans son intégralité)

Le Parisien (29 octobre 2024) : « Abus sexuels en « live-streaming » : bourreaux téléguidés, fillettes violées… un procès inédit s’ouvre à Paris »

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« « Nous parlons d’un dossier de traite des êtres humains, viols, agressions sexuelles et détention de fichiers pédocriminels. En clair : la commission d’abus sexuels sur des mineurs, diffusés en live streaming contre rémunération. Il était impensable pour la Fondation pour l’enfance de laisser vide le banc de toutes ces si jeunes victimes non identifiées », justifie de son côté Me Céline Astolfe, conseil de cette autre association partie civile. »

(cliquer ici pour lire l’article du Parisien du 29 octobre 2024 dans son intégralité)

France Info (29 octobre 2024) « Viols et tortures sur des enfants philippins : un créateur français de films d’animation jugé pour des centaines d’actes pédopornographiques commandités en ligne »

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« « Céline Astolfe, avocate de la Fondation pour l’Enfance, souhaite « porter les voix de ces enfants qui ont vécu des violences indicibles ». Il lui semble essentiel de « ne pas laisser vides les bancs des parties civiles dans un tel dossier ». » »

(cliquer ici pour lire l’article de France Info du 29 octobre 2024 dans son intégralité)

 

 

 

Le Monde (1er octobre 2024) – Affaire du chirurgien pédocriminel Le Scouarnec : questions sur de possibles négligences des instances médicales

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« « Cette affaire pose très sérieusement la question de la responsabilité de tous les acteurs qui ont eu à connaître des antécédents de ce médecin, estime Céline Astolfe, avocate de l’association la Fondation pour l’enfance, partie civile. Cette abstention généralisée des ordres, des services du ministère, des directions des établissements hospitaliers interpelle et nous aurons à en débattre. Il nous faut comprendre, pour les victimes et pour que cela ne se reproduise pas ! » »

(cliquer ici pour lire l’article du 1er octobre 2024 dans son intégralité)

Le Monde (30 septembre 2024) – Affaire Le Scouarnec : l’ex-chirurgien pédocriminel sera jugé en 2025 pour « viols aggravés » et « agressions sexuelles aggravées » sur 299 victimes

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« « Dans cette affaire, les parties civiles ont découvert leur qualité de victimes à l’occasion de leur convocation par les enquêteurs », affirme Céline Astolfe, avocate de l’association la Fondation pour l’enfance, qui sera partie civile lors de ce « procès hors norme, par le nombre hyperbolique de victimes, par sa période de prévention infinie et par le mode de découverte de ces faits ». « Cela pose la question de l’accompagnement psychologique dans ces situations où une telle nouvelle fait effraction dans votre quotidien. C’est vertigineux ! », poursuit-elle. »

(cliquer ici pour lire l’article du 30 septembre 2024 dans son intégralité)

Me Olivier BARATELLI, avocat du Maroc dans l’affaire PEGASUS, envisage de saisir la Cour Européenne des Droits de l’Homme

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◼️ Extrait du journal Barlamane.com publié le 27 septembre 2024 ( cliquer ici pour lire l’article dans son intégralité ) :

 » Le Maroc, qui a «étudié un pourvoi en cassation pour faire valoir son droit d’agir contre les accusations calomnieuses émises par certains organes de presse ayant affirmé, sans la moindre preuve ou commencement de preuve, qu’il utiliserait le logiciel Pegasus», voit une nouvelle fois la vérité empêchée : ni le tribunal correctionnel de Paris en première instance, ni la cour d’appel ou encore la cour de cassation n’ont creusé l’affaire, malgré des citations directes contre Le Monde, Radio France, France Media Monde, Mediapart, L’Humanité, Forbidden Stories et Amnesty International.

En cause, un article de la loi française de 1881, très controversé, qui «interdit à un État, qui ne peut pas être assimilé à un particulier au sens de ce texte, d’engager une poursuite en diffamation.» L’avocat du Maroc, Olivier Baratelli, avait précisé que le royaume avait «le droit de défendre l’honneur de ses services de renseignement» visé par des «journalistes irresponsables.» « 

 

◼️ Extrait du journal LE DESK publié le 26 septembre 2024 ( cliquer ici pour lire l’article dans son intégralité ) :