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Le Monde (1er octobre 2024) – Affaire du chirurgien pédocriminel Le Scouarnec : questions sur de possibles négligences des instances médicales

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« « Cette affaire pose très sérieusement la question de la responsabilité de tous les acteurs qui ont eu à connaître des antécédents de ce médecin, estime Céline Astolfe, avocate de l’association la Fondation pour l’enfance, partie civile. Cette abstention généralisée des ordres, des services du ministère, des directions des établissements hospitaliers interpelle et nous aurons à en débattre. Il nous faut comprendre, pour les victimes et pour que cela ne se reproduise pas ! » »

(cliquer ici pour lire l’article du 1er octobre 2024 dans son intégralité)

Le Monde (30 septembre 2024) – Affaire Le Scouarnec : l’ex-chirurgien pédocriminel sera jugé en 2025 pour « viols aggravés » et « agressions sexuelles aggravées » sur 299 victimes

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« « Dans cette affaire, les parties civiles ont découvert leur qualité de victimes à l’occasion de leur convocation par les enquêteurs », affirme Céline Astolfe, avocate de l’association la Fondation pour l’enfance, qui sera partie civile lors de ce « procès hors norme, par le nombre hyperbolique de victimes, par sa période de prévention infinie et par le mode de découverte de ces faits ». « Cela pose la question de l’accompagnement psychologique dans ces situations où une telle nouvelle fait effraction dans votre quotidien. C’est vertigineux ! », poursuit-elle. »

(cliquer ici pour lire l’article du 30 septembre 2024 dans son intégralité)

Me Olivier BARATELLI, avocat du Maroc dans l’affaire PEGASUS, envisage de saisir la Cour Européenne des Droits de l’Homme

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◼️ Extrait du journal Barlamane.com publié le 27 septembre 2024 ( cliquer ici pour lire l’article dans son intégralité ) :

 » Le Maroc, qui a «étudié un pourvoi en cassation pour faire valoir son droit d’agir contre les accusations calomnieuses émises par certains organes de presse ayant affirmé, sans la moindre preuve ou commencement de preuve, qu’il utiliserait le logiciel Pegasus», voit une nouvelle fois la vérité empêchée : ni le tribunal correctionnel de Paris en première instance, ni la cour d’appel ou encore la cour de cassation n’ont creusé l’affaire, malgré des citations directes contre Le Monde, Radio France, France Media Monde, Mediapart, L’Humanité, Forbidden Stories et Amnesty International.

En cause, un article de la loi française de 1881, très controversé, qui «interdit à un État, qui ne peut pas être assimilé à un particulier au sens de ce texte, d’engager une poursuite en diffamation.» L’avocat du Maroc, Olivier Baratelli, avait précisé que le royaume avait «le droit de défendre l’honneur de ses services de renseignement» visé par des «journalistes irresponsables.» « 

 

◼️ Extrait du journal LE DESK publié le 26 septembre 2024 ( cliquer ici pour lire l’article dans son intégralité ) :

Le Parisien, 28 juillet 2024 :

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« On parle d’une situation apocalyptique avec près de 70 personnes surgissant de nulle part, jetant projectiles, parpaings, bouteilles en verre sur les agents, qui ont fait leur travail dans des conditions extrêmes au péril de leur vie », défendent Céline Astolfe et Sandra Chirac-Kollarik, deux avocates d’un des agents qui avaient été placés en garde à vue. » »

(cliquer ici pour lire l’article du 28 juillet 2024 dans son intégralité)

Groupe BOLLORE : les audits de mise en conformité validés par la justice

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◼️ Extraits de l’article publié le 24 juillet 2024 sur le site de l’AFP :

« La justice a validé en mai le plan de mise en conformité imposé en 2021 à l’entreprise Bolloré lors de l’accord négocié pour solder les poursuites pour corruption au Togo au début des années 2010, a indiqué mercredi le parquet national financier (PNF). »

(…)

“Des travaux approfondis ont été réalisés entre le groupe Bolloré et toutes les parties à la satisfaction générale de tous”, s’est félicité auprès de l’AFP l’avocat du groupe Bolloré, Olivier Baratelli.

Les audits réalisés “confirment la formidable compliance, l’éthique et la morale de Bolloré, depuis plus de 15 ans”, a-t-il ajouté, estimant que c’est “en toute confiance et dans une sérénité générale qu’a été constatée l’extinction définitive de l’action publique”.

 

👉🏻 Pour lire l’article dans son intégralité : Corruption au Togo: la justice valide le plan de mise en conformité du groupe Bolloré

L’Equipe : « Affaire de Mendoza : la défense aux multiples visages d’Oscar Jegou et Hugo Auradou »

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« C’est, d’après nos informations, déjà le cas depuis les premières heures de l’affaire. Le mandat de Me Céline Astolfe, qui nous a été confirmé, n’est pas non plus conditionné à l’apparition d’une ligne de fracture dans les versions des deux joueurs. Cette divergence n’existe pas et la présence de l’avocate parisienne, qui a défendu Vincent Bolloré, l’association Hors la Rue, la Fondation pour l’enfance ou un des responsables de la compagnie aérienne impliquée dans l’affaire d’Air Cocaïne, n’en est absolument pas le signe annonciateur.

Familles, clubs et Fédération font bloc sur un principe: laisser la justice argentine oeuvrer sereinement. »

(cliquer ici pour lire l’article du 18 juillet 2024 dans son intégralité)

 

Affaire Carlos GHOSN – Me Olivier BARATELLI, avocat de Rachida DATI : le bras de fer sur la reconnaissance de la prescription continue

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◼️ Extrait du journal L’Alscace publié le 2 juillet 2024 ( cliquer ici pour lire l’article dans son intégralité ) :

 » La cour d’appel de Paris se prononce ce mardi sur la demande de la ministre de la Culture de mettre fin aux poursuites qui la visent depuis 2021 dans l’affaire financière Carlos Ghosn. Cette dernière est poursuivie pour « corruption passive », « trafic d’influence passif » et « recel d’abus de pouvoir » depuis juillet 2021.  »

◼️ Extrait du journal BFM RMC publié le 2 juillet 2024 ( cliquer ici pour lire l’article dans son intégralité ) :

 » La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris « n’a pas fait droit à la demande de Rachida Dati » mardi, ont déclaré à la presse deux de ses avocats, Mes Olivier Pardo et Olivier Bluche. Une source judiciaire a confirmé cette décision à l’AFP. « Le fond n’est pas du tout tranché. Le problème est que le temps est un outrage à la mémoire. Il est difficile d’appréhender une affaire quinze ans après les faits », ont réagi dans un communiqué Mes Olivier Pardo et Olivier Baratelli, autre avocat en défense, annonçant se pourvoir en cassation. »

Me Olivier BARATELLI, avocat de Jacques-Henri EYRAUD, ancien président de l’OM, obtient la condamnation des cyberharceleurs à des peines de prison

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Le 29 mai 2024, nous évoquions le procès qui se tenait alors devant le tribunal judiciaire de Paris concernant les faits de cyberharcèlement et de menaces de mort proférées contre Jacques Henri EYRAUD ( voir ici ), représenté à l’audience par son avocat, Maître Olivier BARATELLI:

Insultes, menaces, et caricatures au goût douteux

« On aura ta peau », « Qu’on le pende ce fils de chien », « Ça va mal finir pour toi »… Ce sont quelques-uns des messages ayant visé M. Eyraud, 56 ans, postés au début de l’année 2021 par les onze prévenus, âgés de 25 à 52 ans. Outre les messages menaçants, des caricatures montrant Jacques-Henri Eyraud décapité ou le corps sous une guillotine avec comme réceptacle un panier d’osier marqué « droit au but » (la devise de l’OM, NDLR) avaient également été postées sur Twitter. »

👉🏻 Le délibéré, rendu le mardi 2 juillet 2024 par le tribunal judiciaire de Paris, envoie un message très clair :

◼️ Extrait de l’article publié le 02.07.2024 par France Bleu infos – ICI ( cliquer ici pour lire l’article intégralement ) :

« Onze hommes se présentant comme des supporters de l’Olympique de Marseille ont été condamnés ce mardi à Paris à des peines de prison de trois mois avec sursis à six mois ferme pour le cyberharcèlement et des menaces de mort contre l’ex-président du club, Jacques-Henri Eyraud. Les onze prévenus, âgés de 25 à 52 ans, devront en outre payer solidairement 20.000 euros à Jaques-Henri Eyraud, 56 ans, en réparation de son préjudice moral et 5.000 euros pour son préjudice d’image. Chacun des prévenus devra également verser 500 euros à l’OM pour son préjudice d’image. »

(…)

« Les peines de prison sonnent comme un véritable avertissement. Elles sont dissuasives et invitent clairement à cesser le harcèlement sous quelque forme que ce soit« , s’est félicité auprès de l’AFP, Me Olivier Baratelli, avocat de Jacques-Henri Eyraud. « L’importance des dommages-intérêts alloués fait comprendre à ces supporters qui si la haine se consomme cash, elle se paye au bout du compte, a-t-il ajouté. »

◼️ Extrait de l’article publié le 02.07.2024 par So Foot ( cliquer ici pour lire l’article intégralement ) :

« L’avocat de Jacques-Henri Eyraud, Me Olivier Baratelli, s’est réjoui d’une « victoire totale. Le tribunal s’est montré dissuasif et invite clairement, par un message didactique, à combattre le harcèlement ». »

◼️ Extrait de l’article publié le 02.07.2024 par L’Equipe ( cliquer ici pour lire l’article intégralement ) :

« Eyraud avait dû être placé sous protection policière

L’audience, tenue fin mai à Paris sur deux jours, avait donné lieu à un fort moment d’émotion, quand Jacques-Henri Eyraud, venu assister aux débats avec une de ses filles, n’avait pu retenir ses larmes, un juge devant lui tendre un mouchoir. « L’environnement fait partie de ce club, avait-il confié, on en prend conscience, on l’accepte, mais il y a un monde entre des critiques qui peuvent s’entendre et les menaces de mort et le harcèlement d’une violence inconnue. » Il avait dû être mis sous protection policière, renvoyant ensuite sa famille prématurément à Paris. »

◼️ Extrait de l’article publié le 02.07.2024 par Le Parisien ( cliquer ici pour lire l’article intégralement ) :

« Un harcèlement massif

Au total, une centaine de personnes avaient posté des messages haineux. Seules onze d’entre elles qui se cachaient derrière un pseudonyme ont pu être identifiées et poursuivies par le Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH). Ces faits s’étaient déroulés en marge de graves incidents survenus le 30 janvier 2021, quand plusieurs centaines de supporters de l’OM, mécontents et cagoulés, s’en étaient pris violemment à la Commanderie, son centre d’entraînement. »

Affaire Jacques-Henri EYRAUD, ancien président de l’OM : prison avec sursis requise pour les 11 cyberharceleurs

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Alors que se tient depuis lundi le procès de onze supporters de l’OM pour cyberharcèlement aggravé et menaces de mort contre l’ancien président du club Jacques-Henri Eyraud (voir notre précédent article ici), le procureur de la République du tribunal judiciaire de Paris a requis ce mardi des peines de deux à huit mois de prison avec sursis.

👉🏻 Extrait de l’article publié sur le site du journal RMC Sport, édition du 28 mai 2024 , OM: de la prison requise contre les supporters harceleurs de Jacques-Henri EYRAUD :

« Jacques-Henri Eyraud avait décrit un petit enfer, lundi à la barre, et a visiblement été entendu par le parquet. Des peines de deux à huit mois de prison avec sursis ont été requises ce mardi à l’encontre de onze hommes se revendiquant comme supporters de l’OM et poursuivis pour cyberharcèlement aggravé et menaces de mort contre l’ancien président du club marseillais.

« Le lynchage gratuit doit être sanctionné », a lancé la procureure en demandant des peines de prison avec sursis contre les onze hommes poursuivis pour avoir posté des messages de haine sur le réseau social Twitter (devenu X) et jugés devant le tribunal judiciaire de Paris. « Les valeurs de la République » doivent être respectées y compris « dans les stades », a insisté la procureure en souhaitant que ce soit « la justice qui gagne et pas Twitter ».

Insultes, menaces, et caricatures au goût douteux

« On aura ta peau », « Qu’on le pende ce fils de chien », « Ça va mal finir pour toi »… Ce sont quelques-uns des messages ayant visé M. Eyraud, 56 ans, postés au début de l’année 2021 par les onze prévenus, âgés de 25 à 52 ans. Outre les messages menaçants, des caricatures montrant Jacques-Henri Eyraud décapité ou le corps sous une guillotine avec comme réceptacle un panier d’osier marqué « droit au but » (la devise de l’OM, NDLR) avaient également été postées sur Twitter.

Jérémy A., 44 ans, animateur du site OM Passion, qui a posté ces caricatures et contre lequel a été réclamé la peine la plus lourde, a expliqué à la barre qu’il s’agissait d’un montage « shakespearien ». « Même si l’OM avait été relégué en L2, rien ne justifie » la haine en ligne, a insisté la procureure.

Au total, une centaine de personnes avaient posté des messages haineux mais seules onze d’entre elles qui se cachaient derrière un pseudonyme ont pu être identifiées. Les rares prévenus présents à l’audience ont expliqué, souvent maladroitement, qu’ils avaient agi sous le coup de la colère.

Avocat de M. Eyraud, Olivier Baratelli a demandé au tribunal de ne pas banaliser le cyberharcèlement qui « conduit au pire » et constitue « un fléau colossal ». « Nous avons affaire à des loups assoiffés de sang », a-t-il plaidé. « Ces gens sont capables de passer à l’acte », a-t-il dit en souhaitant « des peines exemplaires ».


◼️Autres publications sur ce sujet :👉🏻 Extrait de l’article publié sur le site du journal L’Equipe, édition du 29 mai 2024 : De la prison avec sursis demandée contre les haters de Jacques-Henri EYRAUD, ancien président de l’OM

👉🏻 Extrait de l’article publié sur le site du journal BFM RMC Sport, édition du 28 mai 2024 : OM: de la prison requise contre les supporters harceleurs de Jacques-Henri EYRAUD

👉🏻 Extrait de l’article publié sur le site du journal Eurosport, édition du 28 mai 2024 : Menaces et insultes contre Jacques-Henri EYRAUD : de 2 à 8 mois requis pour onze supporters de l’OM 

👉🏻 Extrait de l’article publié sur le site du journal Ouest France, édition du 28 mai 2024 : OM. Prison avec sursis requise contre 11 cyberharceleurs de l’ex-président Jacques-Henri EYRAUD