« « Le calendrier judiciaire initial a été suspendu du fait de recours dilatoires de la défense de la plaignante, on ne peut pas indéfiniment entraver Oscar Jegou de faire son métier de joueur professionnel, la décision est légitime », nous expliquait Céline Astolfe, avocate du club et du joueur. »
(cliquer ici pour lire l’article de L’Equipe du 3 novembre 2024 dans son intégralité)
« N’ayant plus aucune visibilité sur la procédure de non-lieu demandée par le procureur de Mendoza, nous avons décidé, en concertation avec notre avocate Maître Astolfe, d’autoriser Oscar à rejouer dès ce week-end, nous a confirmé Vincent Merling, le président des Jaune et Noir. Nous renouvelons notre confiance dans la justice argentine mais nous sommes très impatients que la procédure puisse aller à son terme avec la tenue de l’audience sur le non-lieu ».
« Cette décision du Stade Rochelais de faire revenir Oscar Jegou sur le terrain est légitime. Le calendrier judiciaire initial a été suspendu du fait de recours dilatoires de l’avocate de la plaignante, appuie Maître Céline Astolfe. Dans ces conditions, il n’est pas envisageable d’empêcher plus longtemps Oscar d’exercer son métier de joueur de rugby professionnel, puisque nous sommes dans l’ignorance de la date de l’audience sur le non-lieu annoncée il y a bientôt un mois. »
(cliquer ici pour lire l’article de Sud-Ouest du 31 octobre 2024 dans son intégralité)
« Le Stade Rochelais a pris la décision de le faire revenir sur le terrain parce que le calendrier judiciaire initial a été suspendu du fait de recours dilatoires de la défense de la plaignante, nous a indiqué Céline Astolfe, avocate du club et du joueur. Nous sommes dans l’ignorance d’une date d’audience sur le non-lieu, qui a pourtant été annoncée il y a bientôt un mois. »
« Initialement, nous avions un calendrier fixe, avec une visibilité sur laquelle le Stade Rochelais s’était calé mais, désormais, nous n’avons plus de date, reprend Me Astolfe. On ne peut pas indéfiniment entraver Oscar Jegou dans l’exercice de son métier de joueur professionnel. C’est une décision légitime. »
(cliquer ici pour lire l’article de L’Equipe du 31 octobre 2024 dans son intégralité)
« D’une même voix, les avocats de partie civile ont, eux, plaidé pour les grands absents du procès : les enfants. «On est là pour penser de manière très concrète à leurs tremblements, à leurs pleurs, à leurs douleurs physiques », a insisté Céline Astolfe, de la Fondation pour l’Enfance. »
(cliquer ici pour lire l’article du Figaro du 1er novembre 2024 dans son intégralité)
« Seule Me Céline Astolfe, avocate de la Fondation pour l’Enfance – qui occupe le banc des parties civiles avec six autres associations de protection de l’enfance, faute de victimes physiques –, parvient à l’amener au plus proche de la réalité des faits. Bouhalem B. prend une grande inspiration, la main sur le cœur, et finit par lâcher au sujet des actes de torture qu’il commandait à ces femmes philippines : « Ces actes criminels sont vraiment horribles, en fait ça vous donne un pouvoir incroyable d’aller jusqu’à la limite… Heureusement, je ne suis pas tombé sur une femme criminelle ! » »
(cliquer ici pour lire l’article du Point du 31 octobre 2024 dans son intégralité)
« « Nous parlons d’un dossier de traite des êtres humains, viols, agressions sexuelles et détention de fichiers pédocriminels. En clair : la commission d’abus sexuels sur des mineurs, diffusés en live streaming contre rémunération. Il était impensable pour la Fondation pour l’enfance de laisser vide le banc de toutes ces si jeunes victimes non identifiées », justifie de son côté Me Céline Astolfe, conseil de cette autre association partie civile. »
(cliquer ici pour lire l’article du Parisien du 29 octobre 2024 dans son intégralité)
« « Céline Astolfe, avocate de la Fondation pour l’Enfance, souhaite « porter les voix de ces enfants qui ont vécu des violences indicibles ». Il lui semble essentiel de « ne pas laisser vides les bancs des parties civiles dans un tel dossier ». » »
(cliquer ici pour lire l’article de France Info du 29 octobre 2024 dans son intégralité)
« « Cette affaire pose très sérieusement la question de la responsabilité de tous les acteurs qui ont eu à connaître des antécédents de ce médecin, estime Céline Astolfe, avocate de l’association la Fondation pour l’enfance, partie civile. Cette abstention généralisée des ordres, des services du ministère, des directions des établissements hospitaliers interpelle et nous aurons à en débattre. Il nous faut comprendre, pour les victimes et pour que cela ne se reproduise pas ! » »
(cliquer ici pour lire l’article du 1er octobre 2024 dans son intégralité)