« Seule Me Céline Astolfe, avocate de la Fondation pour l’Enfance – qui occupe le banc des parties civiles avec six autres associations de protection de l’enfance, faute de victimes physiques –, parvient à l’amener au plus proche de la réalité des faits. Bouhalem B. prend une grande inspiration, la main sur le cœur, et finit par lâcher au sujet des actes de torture qu’il commandait à ces femmes philippines : « Ces actes criminels sont vraiment horribles, en fait ça vous donne un pouvoir incroyable d’aller jusqu’à la limite… Heureusement, je ne suis pas tombé sur une femme criminelle ! » »
(cliquer ici pour lire l’article du Point du 31 octobre 2024 dans son intégralité)