« « Nous parlons d’un dossier de traite des êtres humains, viols, agressions sexuelles et détention de fichiers pédocriminels. En clair : la commission d’abus sexuels sur des mineurs, diffusés en live streaming contre rémunération. Il était impensable pour la Fondation pour l’enfance de laisser vide le banc de toutes ces si jeunes victimes non identifiées », justifie de son côté Me Céline Astolfe, conseil de cette autre association partie civile. »
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