« « Céline Astolfe, avocate de la Fondation pour l’Enfance, souhaite « porter les voix de ces enfants qui ont vécu des violences indicibles ». Il lui semble essentiel de « ne pas laisser vides les bancs des parties civiles dans un tel dossier ». » »
(cliquer ici pour lire l’article de France Info du 29 octobre 2024 dans son intégralité)