La cour d’appel de Paris doit valider ou pas ce lundi la mise en examen de cette ex-société de cybersurveillance. Elle avait vendu à la Libye un logiciel que le régime de Kadhafi aurait utilisé pour traquer et emprisonner ses opposants.
C’est un dossier hautement symbolique pour les uns, une procédure injustifiée pour d’autres. L’affaire Amesys, du nom de cette ex-société française d’ingénierie informatique, revient sous les feux de l’actualité.