◼️ Extrait du journal Barlamane.com publié le 27 septembre 2024 ( cliquer ici pour lire l’article dans son intégralité ) :
» Le Maroc, qui a «étudié un pourvoi en cassation pour faire valoir son droit d’agir contre les accusations calomnieuses émises par certains organes de presse ayant affirmé, sans la moindre preuve ou commencement de preuve, qu’il utiliserait le logiciel Pegasus», voit une nouvelle fois la vérité empêchée : ni le tribunal correctionnel de Paris en première instance, ni la cour d’appel ou encore la cour de cassation n’ont creusé l’affaire, malgré des citations directes contre Le Monde, Radio France, France Media Monde, Mediapart, L’Humanité, Forbidden Stories et Amnesty International.
En cause, un article de la loi française de 1881, très controversé, qui «interdit à un État, qui ne peut pas être assimilé à un particulier au sens de ce texte, d’engager une poursuite en diffamation.» L’avocat du Maroc, Olivier Baratelli, avait précisé que le royaume avait «le droit de défendre l’honneur de ses services de renseignement» visé par des «journalistes irresponsables.» «
◼️ Extrait du journal LE DESK publié le 26 septembre 2024 ( cliquer ici pour lire l’article dans son intégralité ) :