« On parle d’une situation apocalyptique avec près de 70 personnes surgissant de nulle part, jetant projectiles, parpaings, bouteilles en verre sur les agents, qui ont fait leur travail dans des conditions extrêmes au péril de leur vie », défendent Céline Astolfe et Sandra Chirac-Kollarik, deux avocates d’un des agents qui avaient été placés en garde à vue. » »
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