« « Dans cette affaire, les parties civiles ont découvert leur qualité de victimes à l’occasion de leur convocation par les enquêteurs », affirme Céline Astolfe, avocate de l’association la Fondation pour l’enfance, qui sera partie civile lors de ce « procès hors norme, par le nombre hyperbolique de victimes, par sa période de prévention infinie et par le mode de découverte de ces faits ». « Cela pose la question de l’accompagnement psychologique dans ces situations où une telle nouvelle fait effraction dans votre quotidien. C’est vertigineux ! », poursuit-elle. »
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